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ACTIONS - page 12

Merci de soutenir : « Ali Aarrass: Au-delà des barreaux et des frontières… » sur KissKissBankBank. Un mois de solidarité avec Ali Aarrass : les activités à venir !

dans ACTIONS par

Ali Aarrass au-delà des barreaux et des frontières Ali Aarrass au-delà des barreaux et des frontières 2Merci aux 42 personnes qui ont versé une contribution pour réaliser l’édition de la Bande dessinée « Je m’appelle Ali Aarrass » de Manu Scordia et le livre « Lettres de prison et Journal d’une grève de la faim » d’Ali et Farida Aarrass.

Ce lundi 12 avril nous sommes à 3060 euros.

Encore 18 jours pour arriver aux 4000 euros nécessaires.

Merci de partager cet appel parmi vos ami(e)s et contacts ! Cliquez ici

Autres événements dans le cadre d’un mois de solidarité avec Ali Aarrass :

Affiche conférence samedi les binationaux en dangerSamedi 16 avril 2016: Conférence-débat, les binationaux en danger !! Que faire ?

Samedi 23 avril 2016 :  Présentation du travail du Choeur d’Ali Aarrass

Samedi 30 avril 2016: Présentation de la campagne de crowfunding et des 2 ouvrages (la bd et le livre de Farida et d’Ali)

Oui, vous pouvez nous aider à éditer la Bande Dessinée « Je m’appelle Ali Aarrass » et le livre « Lettres de Prison & Journal d’une grève de la faim » d’Ali et Farida Aarrass

dans ACTIONS/ARTS/Lettres/Letters/Brieven par

Ali Aarrass au-delà des barreaux et des frontièresUn projet Crowdfunding via Kisskissbankbank vient d’être lancé aujourd’hui. Pendant ce mois de solidarité avec Ali Aarrass nous avons comme objectif de récolter 4000 euros pour éditer la Bande Dessinée de Manu Scordia « Je m’appelle Ali Aarrass » et le livre « Lettres de prison et Journal d’une grève de la faim » par Ali Aarrass et Farida Aarrass.

Voici le lien vers la page de notre projet: 

 Ali Aarrass: Au-delà des barreaux et des frontières…

Présentation du projet

Ce 1er avril 2016 marque la 9ème année de détention arbitraire d’Ali Aarrass, belgo-marocain, injustement extradé, incarcéré et torturé au Maroc. 

Pour marquer d’une pierre blanche cette triste date, symbole de l’injustice, deux ouvrages témoignant de l’histoire d’Ali Aarrass, verront le jour: une bande dessinée réalisée par Manu Scordia et un recueil des lettres de prison d’Ali Aarrass.

Afin d’éditer ces deux livres, nous avons besoin de vous!

Pour ce faire un crowdfunding a été mis en place. 

Un crow quoi?!

Un crowdfunding est une plateforme de financement participatif permettant de récolter des dons pour un projet.

Tout ou rien? 

Pour ce projet, nous devons récolter la somme de 4000€. Oui, c’est beaucoup d’argent mais c’est à peine pour couvrir la publication des deux ouvrages.

Cependant, nous devons atteindre cet objectif endéans avant le 1er mai 2016. Dans le cas contraire, tous les dons seront remboursés intégralement aux donateurs.

Comment ça marche? 

 D’abord, vous découvrez, vous partagez et enfin, vous faites un don sur la plateforme du projet.

 Ali Aarrass: Au-delà des barreaux et des frontières…

Un petit cadeau pour dire merci

Afin de vous remercier, des cadeaux symboliques seront offerts aux donateurs.

Merci d’avance !

Insaf, pour le Comité Free Ali

Communiqué 1er avril : Pour Ali Aarrass, pour tous les victimes du terrorisme et du terrorisme d’état. (Rassemblement au Ministère des Affaires Etrangères 12 – 14 heures)

dans ACTIONS/COMMUNIQUES DE PRESSE par

Ali Aarrass torturéDemain, 1er avril 2016, Ali Aarrass commencera sa 9ème année de détention

Le Comité Free Ali, se rassemblera devant le Ministère des Affaires Etrangères, 15 rue des petites carmes, 1000 Bruxelles, de 12h à 14h.

Ce rassemblement sera pour nous l’occasion de rendre hommage à toutes les victimes du terrorisme, c’est à dire aussi à ceux qui comme Ali Aarrass sont victimes du terrorisme d’état.

Nous continuons à dénoncer avec force le caractère diffamatoire de la communication employée par Didier Reynders à l’encontre de Ali Aarrass et du comité de soutien:

Premièrement, il est totalement inexact de prétendre que Monsieur Aarrass « bénéficie de l’assistance consulaire belge ». Il n’a jamais reçu la visite du Consul belge à Rabat. Le Ministre a été condamné par la Cour d’appel de Bruxelles pour son inaction mais les autorités belges ne font rien d’efficace pour pouvoir rencontrer leur ressortissant. Le Ministre pourrait pourtant exiger du Maroc, au regard du droit international, d’exercer ses compétences consulaires.

Deuxièmement, il n’y pas de Commission marocaine pour les droits de l’homme mais bien un Conseil national des droits de l’homme au Maroc. Cet organe n’est pas indépendant. Il ne visite pas hebdomadairement Monsieur AARRASS et ne lui a été d’aucune utilité. Les promesses faites suite à ses grèves de la faim n’ont jamais été respectées !

Troisièmement, si le Ministre des Affaires étrangère fait allusion à la condamnation au Maroc, il sait pertinemment que, pour la même affaire, la justice espagnole a innocenté Ali AARRASS. Il sait également que ce dossier est une suite du « dossier BELLIRAJ », dont l’inéquité de la procédure devant les juridictions marocaines a été largement dénoncée par les ONG.

Quatrièmement et plus fondamentalement, le Ministre ment lorsqu’il dit « rien n’indique que le condamné ait été torturé par les services marocains ».

Plus d’informations, cliquez ICI 

FACEBOOK événement : cliquez ICI

Amenez une bougie ou une fleur devant le Ministère des Affaires étrangères.

bougie

Solidarité avec Ali Aarrass à Grenoble et à Gap !

dans ACTIONS par

Le Maroc est-il devenu une annexe de « Guantanamo » ? 

Compte-rendu de la réunion à Grenoble par Marc Ollivier. 

L’association « Maroc Solidarités Citoyennes » a organisé le 1er mars dernier, avec le soutien de plusieurs associations (CADTM, ATTAC 38, CIIP, AFPS, Rencontre des cultures, Cercle laïque, Ligue des femmes, Iran solidarités) une rencontre à propos des prisonniers politiques au Maroc.

C’est la poursuite d’une politique répressive à l’encontre des militants de la démocratie et des défenseurs de la liberté d’expression et des droits de l’homme qui était le sujet de cette rencontre, qui a rassemblé une trentaine de représentants de ces diverses organisations. L’occasion en était fournie par la présentation du livre « Marraine » de Marie-Jo Fressard, préfacé par Gilles Perrault [1].

Dans un premier temps, Marie-Jo Fressard a raconté son expérience de marraine de deux prisonniers politiques condamnés à 25 ans de prison par des jugements iniques, malheureusement fréquents au Maroc où le système judiciaire ne dispose pas de garanties d’indépendance par rapport au pouvoir exécutif. Les deux militants ont  été arrêtés en 1983 pour avoir manifesté pour protester contre le massacre perpétré par les forces de l’ordre en juin 1981 lors des « émeutes de la faim » de Casablanca (mitraillages dans les rues : entre 200 et 1000 morts)et contre la politique de Hassan II, en particulier à l’encontre des Palestiniens.. Condamnés à mort, puis à perpétuité pour cette manif, leur peine a été transformée en 25 années de prison, ponctuées de tortures, de mauvais traitements, de grèves de la faim. Toujours soutenu par Marie-Jo et les défenseurs des droits de l’homme, il a finalement été libéré après ce calvaire de 25 ans. Mais ce cas n’est pas isolé dans la situation actuelle des droits de l’homme au Maroc. Khadija Ryadi, qui a postfacé le livre de Marie-Jo, montre l’usage répété de ces longues peines souvent accompagnées de tortures et de mauvais traitements, manifestement dans le but de faire peur à la population, et particulièrement aux syndicalistes et aux jeunes militants exigeant le respect des droits humains et de la démocratie.

L’éditeur belge  Luk Vervaet a pris ensuite la parole. Il explique avoir créé la maison d’édition « Antidote » avec quelques amis pour offrir une liberté éditoriale multilingue et transfrontalière aux « sans voix ».

Il évoque le cas d’un autre prisonnier politique belgo-marocain, Ali Aarrass. Cet homme né à Mellila (enclave espagnole au nord du Maroc) installé en Belgique depuis l’âge de 15 ans pour y rejoindre sa mère, ouvre une petite librairie à Bruxelles après son service militaire. Puis il décide de retourner à Mellila. Mais là, le Maroc demande son arrestation à l’Espagne et son extradition au Maroc sous prétexte de soutien au terrorisme. Le juge Baltazar Garçon l’arrête et l’emprisonne en 2008 sous torture blanche (isolement et silence total etc…). En 2009, constatant le vide de son dossier, et malgré une mise en garde de l’ONU, il l’extrade au Maroc où là il est pris en main par la police judiciaire pendant dix jours. Ensuite il est condamné à 15 ans de prison sur la base d’un texte d’aveu signé sous la torture. Il est devenu depuis l’un des cinq prisonniers choisis comme symboles de la lutte contre la torture par Amnesty international.

Luk Vervaet, pour conclure son intervention, rappelle que le Maroc a joué le rôle d’un sous-traitant (ainsi que quelques autres pays) pour torturer les détenus de Guantanamo. On peut craindre qu’il ne devienne un carrefour important du réseau des pratiques « sécuritaires » peu sensibles au respect des droits individuels que l’on voit se développer à l’international sous les pressions des États-Unis.

Selon lui, les autorités belges par exemple se préparent à demander au Maroc d’effectuer des patrouilles de surveillance dans les quartiers qu’elles considèrent comme « sensibles » en Belgique. Cette opinion est d’ailleurs confortée par les nombreux exemples exposés dans un autre ouvrage qu’il a édité sous le titre « Guantanamo chez nous »[2].

Le débat qui a suivi ces interventions a manifesté une forte sensibilisation aux cas individuels relatés par Marie-Jo Fressard (qui continue à être la marraine de deux jeunes détenus sahraouis arrêtés et condamnés dans les mêmes conditions) et par Luk Vervaet. La nécessité d’une vigilance accrue a été réaffirmée vis à vis des diverses manifestations des « pratiques sécuritaires » dans plusieurs pays et la question a notamment été posée « Ne faut-il pas analyser sous cet angle les velléités d’installer un « état d’urgence » permanent dans notre pays mettant en péril l’état de droit ?

 

[1]     Marraine des deux plus anciens prisonniers politiques marocains, éditions Antidote 2015 Belgique. Préface de Gilles Perrault, postface de Khadija Ryadi, ancienne présidente de l’AMDH -.(www.antidote.be)

[2]     Guantanamo chez nous ?,  éditions Antidote 2014 Belgique Préface de Maître Marc Nève, avocat.

Solidarité avec Ali Aarrass en Asturias ! ¡Feliz cumpleaños Ali !

dans ACTIONS/ORGANISATIONS POUR LES DROITS DE L'HOMME / FOR HUMAN RIGHTS par

El bar La LLOSA de Avilés – Asturias – Espana, se solidariza con Ali Aarrass / Le bar La LLOSA – Avilés – Asturias – Espagne, se solidarise avec Ali Aarrass / The Pub La LLOSA – Avilés – Asturias – Spain, in solidarity with Ali Aarrass.

Ali Aarrass Asturias

 

¡Feliz cumpleaños Ali !

Hoy 4 de marzo Ali Aarrass cumple 54 años. Ali es un preso adoptado por AI Asturias que está encarcelado en Marruecos desde 2010, y ha sido víctima de múltiples violaciones de derechos humanos. El pasado 26 de febrero su hermana y su madre le visitaron en la prisión de Salé y nos han contado que está mejor (después del deteriodo físico por la larga huelga de hambre que realizó en agosto 2015), contento y que se había emocionado mucho con las cartas y regalos que le habíamos enviado activistas de AI con motivo de su cumpleños. Felicidades Ali, esperemos que el año que viene puedas celebrarlo libre.

Un joyeux anniversaire à Ali ! Aujourd’hui 4 mars Ali Aarrass a 54 ans. Ali est un prisonnier adopté par Amnistía Internacional Asturias. Il est en détention au Maroc depuis 2010 et a été victime de multiples violations des droits humains. Le 26 février dernier, sa sœur, sa nièce et sa mère lui ont rendu visite dans la prison de Salé II et nous rapportent qu’il va mieux (compte tenu de son état antérieur, du à la longue grève de la faim qu’il entreprit depuis août 2015) Qu’il est content et fort ému de toutes les cartes postales reçues. Des cartes envoyées par de tas d’activistes d’Amnesty International, à l’occasion de son anniversaire. Nous te souhaitons un très joyeux anniversaire Ali et espérons que le prochain tu puisses le célébrer en liberté.

Happy Birthday Ali ! Today March 4, Ali Aarrassis is 54 years old. Ali is a prisoner adopted by Amnistía Internacional Asturias. He is in custody in Morocco since 2010 and was a victim of multiple violations of human rights. On February 26, his sister, his niece and his mother visited him in Salé II prison and they relate us, that Ali is getting better (given its previous state of the long hunger strike that began in August 2015) and that he is happy and deeply moved with all the postcards he received. Cards sent by piles from activists of Amnesty International, on the occasion of his birthday. We wish you a very happy birthday Ali, and hope that the next you could celebrate it being free.

Ali Aarrass Asturias Feliz cumpleanos Ali

La cause d’Ali Aarrass à Grenoble (1er mars) et à Gap (3 mars)

dans ACTIONS par

Grenoble 1er mars : 

Présentation du livre de Marie-Jo Fressard et de l’affaire Ali Aarrass

Organisée par « Maroc Solidarités  Citoyennes »
Marie-Jo et Farida Rabat
(photo Marie-Jo Fressard et Farida Aarrass à Rabat)
Rencontre d’information et de débats
sur la solidarité avec les prisonniers politiques au Maroc
1er mars, de 18h à 20h30
au siège de l’association « Rencontre des cultures »
9 rue Hoche à Grenoble
(prendre le passage entre la CCI et la crèche « l’Ilot marmots » jusqu’à l’entrée du parc derrière la CCI)
Marie Jo Fressard viendra présenter son livre :
« Marraine des deux plus anciens prisonniers politiques du Maroc ».
Condamnés à perpétuité, ils furent libérés en 2008, après une incarcération de 25 ans qui aurait été plus longue sans le soutien et les démarches incessantes de Marie-Jo.
Elle sera accompagnée de Luk Vervaet qui a longtemps enseigné auprès de prisonniers à Bruxelles, et qui est très engagé dans la lutte contre les atteintes aux droits de l’Homme, notamment au Maroc : il est aussi animateur du Comité de Soutien au libraire belgo-marocain, Ali Aarras incarcéré au Maroc depuis 2008, maltraité, torturé et sans perspective de passer en jugement. L’une et l’autre  alterneront leurs voix pour répondre à vos interrogations sur la nature du système carcéral au Maroc.
Cette rencontre est organisée avec le soutien des associations  suivantes :  CIIP (Centre d’Information Inter-Peuples) – CADTM 38 (Comité pour l’Annulation de la Dette du Tiers-Monde) – ATTAC 38 (Association pour la Taxation des Transactions financières et l’Aide aux Citoyens) – LDH Iran (Ligue des Droits de l’Homme en Iran)

Gap : 3 marsGAP Marie-Jo et Luk réunion du 3 mars 16

Communiqué de presse : Les binationaux : citoyens de seconde zone ?

dans ACTIONS/DOUBLE NATIONALITE par

carte d'identité Ali aarrassCOMMUNIQUÉ DE PRESSE – BRUXELLES 25 JANVIER 2016.

À l’heure où, le Ministre Jambon, Vice-Premier ministre et ministre de la Sécurité et de l’Intérieur,pousse les propos de Joelle Milquet sur la « coopération nécessaire avec le Maroc » à son comble en invitant à déléguer la gestion du pouvoir exécutif à la police marocaine dans les quartiers populaires de Bruxelles afin d’en contrôler la population issue de l’immigration, le Comité Free Ali invite à une journée de mobilisation, de formation et de réflexion autour du

Statut des bi-nationaux en Belgique

Samedi 30 janvier à 14h au Vaartkapoen, Schoolstraat 70, 1080 Molenbeek


En effet, l’ affaire Ali Aarrass, met en  lumière les inégalités touchant de manière systémique la population binationale soumise à la déchéance de nationalité dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Une analyse comparative des réformes belges et françaises sera également portée à la connaissance du public.

Plusieurs intervenants prendront la parole :

Zakia Khattabi, co présidente du parti Ecolo, Luk Vervaet, ex enseignant dans les prisons et auteur, Leïla Lahssaini, avocat, membre du PROGRESS Lawyers Network, Alexis Deswaef, président de la Ligue des Droits de l’homme. Modératrice : Khadija Senhadji.

D’autre part, un collectif d’artistes investiront la scène en deuxième partie d’après-midi, se refusant àcautionner l’argumentation culturelle avancée par le ministre Jambon à la légitimation d’un apartheid en Belgique.

En effet, si le Ministre Jambon veut introduire « les manières culturellement très différentes » de la police marocaine en Belgique, la population belge sera dorénavant divisée en deux parties : celle surveillée et traitée à la belge et celle « culturellement différente », à la méthode marocaine. Nous nous insurgeons face à cette situation et alertons sur le danger de la situation présente. Alors qu’une prison pour Belgo-Marocains au Maroc est proposée par Bart De Wever, allons-nous assister dans notre pays aux premiers kidnappings et tortures à la marocaine dès l’année prochaine ?

Nous invitons vivement les acteurs du monde médiatique à assister à cette journée et à en relayer les échanges.

Avec Mohamed Mesbahi, Hydra, Soledad Kalza, Ladoshad (rap), Jack Noisy, Manza et Le Choeur d’Ali Aarrass.

Responsable de l’organisation de l’évènement : Hanane Hamdani 0488 60 49 37

Pour le Comité Free Ali et sa Cellule Média : Julie Jaroszewski 0497855460

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